C’est un peu du voyeurisme, puisqu’on…

Robin, 24 ans, Parisien

Quel genre d’enfant étiez-vous ?

J’étais joyeux et calme, réfléchi et déjà posé.

Qu’est-ce que vos professeurs pensaient de vous ?

Que j’étais assez calme et studieux. J’étais un peu discret, je n’aimais pas participer en classe. C’est ce qui est souvent revenu de mes professeurs. Sinon je pense plutôt agréable et pas trop turbulent.

A quel moment avez-vous su que vous vouliez faire des études d’ingénieur ?

Mon père est architecte, je baignais déjà assez jeune dans ce milieu. Je suis beaucoup allé dans son agence quand j’étais jeune, c’est pour ça que je me suis senti attiré par le bâtiment. Après le bac j’ai décidé que je voulais faire une prépa, je n’avais pas plus d’idée que ça mais je savais que ça allait me mener dans un milieu que j’aimerais bien.

Y a-t-il une entreprise où vous aimeriez travailler ?

Dans le milieu de la construction, notamment dans l’immobilier. Et si ça peut être rattaché au sport d’une certaine manière, j’essaierai de le faire : par exemple en travaillant avec une fédération, un club.

Qu’auriez-vous aimé faire si vous n’aviez pas fait ces études d’ingénieur ?

Comme je fais du tennis depuis toujours, mon rêve était de devenir sportif de haut niveau. Mais c’est quelque chose de très compliqué de se lancer comme ça quand on est jeune.Aujourd’hui je deviens de plus en plus ambitieux : plus jeune je n’en avais pas vraiment conscience, mais avec les études qu’on fait, on voit ou ça peut nous mener, on développe une ambition assez poussée qui permet de trouver des bons stages et de trouver un bon métier.

Quel est votre objectif professionnel ultime ?

C’est un grand mot… Peut-être avoir ma boite. Quand tu crées, c’est ultime, ça doit être difficile  mais sûrement plaisant. C’est peut-être ça le but.Mais je ne sais pas du tout si j’ai le caractère pour, il faut vraiment avoir toujours envie et ne jamais baisser les bras.

Quels sont les modèles qui vous ont inspiré ?

En dehors de la famille et des amis proches qui nous inspirent toujours un peu dans le quotidien, il y a des sportifs comme Nadal qui m’inspirent depuis que je suis jeune : ce qui me fascine chez lui c’est sa combativité, le mental, les émotions, les valeurs fortes qu’il fait passer régulièrement.

Combien de temps passez-vous devant vos cours ? 

Dernièrement aucun : on est en stage et on commence a se préparer à travailler, donc il n’y a pas trop d’études le soirs.

Quel est le rôle de votre famille et de vos amis dans vos études ?

Ils ont tous un rôle important. Avec mes amis on a fait presque tous les mêmes études, on était  tous dans les mêmes prépas. Du coup, on a fait presque les mêmes choix ensemble. On s’épaule et on travaille ensemble, et au final on arrive aux mêmes écoles, c’est sympa. Mes parents sont pareil, ils me motivent, ils sont toujours derrière moi. Il y a même des amis de mes parents qui ont joué un rôle dans ma scolarité. C’est un tout. Ils sont tous très présents.

Que veux dire le mot liberté pour vous ?

C’est vaste ! C’est juste être heureux et faire des choses qu’on aime, avoir le choix, et être content tous les jours.

Vous sentez-vous libre ?

Oui je pense… C’est compliqué.

Que pensez-vous d’internet et de tous ces réseaux sociaux ?

Je pense que c’est bien, mais il y a aussi beaucoup de points négatifs. Par exemple Facebook c’est un peu du voyeurisme, puisqu’on peut voir des choses et des commentaires qui sont destinés à d’autres personnes. Mais bon, on profite toujours, ça ne nous choque pas plus que ça de nos jours. Je pense qu’il y a des sites plus intéressants que d’autres, mais en général c’est plutôt positif.

Que pensez-vous des sites de rencontre ?

C’est plutôt une bonne chose, ce n’est pas malsain. Ça aide des gens, on peut trouver des profils similaires à soi. Ça ne peut être que positif pourvu que ce ne soit pas poussé à l’extrême.

Qui est Robin aujourd’hui ?

Quelqu’un de responsable, de réfléchi et qui a pas mal de choix à faire, parce qu’on est dans une période un peu charnière.

Quels sont vos objectifs à court terme ?

M’amuser à Grenade en Erasmus.

Vous souvenez-vous de votre premier bisou ?

Oui ! Tu braves un peu l’interdit, c’est une nouveauté et c’est sympa.

Est-il difficile d’être votre copine ?

Je pense que ça va… Parfois oui, un peu.

Quel est le secret de la  longévité en couple pour vous ?

Avoir envie de vivre à deux, être prêt dans sa tête et ne pas chercher ailleurs… Et la confiance.

 

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